Impensable et inimaginable

ce que cette femme à pu générer dans sa vie

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Elle s'impose pour être secrétaire à SNGA

Du temps de l'agence PEUGEOT sise avenue de la République à Pontault Combault, mon père Guy GERBAUX avait embauché une secrétaire, Mme Jacqueline CHALLIER, sa femme Aline GERBAUX travaillant à mi-temps et faisant surtout  la ventilation des factures au domicile, au 7 rue de l'avenir derrière le garage. Cette dernière compte tenu de son antériorité, était devenu un élément important du point de vue commercial et image de l'agence PEUGEOT.

Aussi lorsque nous avons ouvert la concession Citroën SNGA de Roissy en Brie, il aurait été naturel qu'elle suive le "mouvement", et soit transférée dans cette nouvelle entreprise. Malheureusement, et c'est un des reproches sinon le plus important, que je me fais, car la suite ne s'aurait pas dérouler de cette manière machiavélique, "pourquoi ai-je embauché Mme Aline GERBAUX dans cette structure".

Mon père était encore vivant, ils bénéficiaient de résidences secondaire et avaient les moyens de voyager et de passer une excellente retraite, tout en s'occupant de leurs petits-enfants de temps à autre.

Mais cette femme, fit "pression psychologique" en utilisant aussi mon épouse d'alors pour faire partie du personnel. Mais souhaitant qu'aussi Mme CHALLIER, ne soit pas dans cette structure, jalouse qu'elle était de cette dernière, sans raison. Et par conséquent engageais-je un licenciement économique.

Et alors qu'elle était employée comme cadre de direction à mi-temps dans SNGA, que je n'avais pas besoin de ses services, que d'autres auraient pu "faire l'affaire", elle prendra sous prétexte de travail la décision de ne pas rentrer le midi à la maison Et donc, mon père restera seul à se morfondre, attendant son retour.

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Capital de fin de carrière de Mme Aline GERBAUX

Madame Aline GERBAUX, partira à la retraite le 31 octobre 1997 avec un solde de tout compte de 127 842,95 Francs (Cent vingt sept mille huit cent quarante deux Francs), de la part de la HOLDING GERBAUX, se décomposant comme suit :

Solde des salaire ...............................:   12 020,00 F

Indemnités de congé payés ...................:  12 260,40 F

Capital de fin de carrière .....................: 108 424,80 F

Retenues légales ................................:  - 4 862,25 F 

De plus étant dans la "collège cadre de direction", elle bénéficiera grâce à SNGA et HOLDING GERBAUX, d'une "super retraite", d'un véhicule Citroën SAXO. Pendant toute son activité elle a utilisé un véhicule de service dont les frais était à la charge de l'entreprise.

Tout cela sera payé par mes "biens personnels"

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Prenant sa retraite en octobre 1997, Mme Aline GERBAUX utilisera la notoriété acquise grâce à son mari Guy GERBAUX décédé en décembre 1987 et sa place "centrale" dans les locaux de la concession Citroën SNGA de Roissy en Brie, ainsi que les fichiers et les moyens de communication de SNGA, pour aider dans leurs actions malveillantes, Mr et Mme Alain GERBAUX, en agissant auprès de nombreux clients dont certains ont bien connus mon Père !

Une des raisons, sera qu'elle veut récupérer le terrain du 53 avenue de la république à Pontault Combault, qu'elle tient par succession des ses parents Mr et Mme Robert NORMAND l'ayant acquis en 1931. Elle souhaite y réaliser une opération immobilière par l'intermédiaire d'un promoteur, déroulement financier qui m'est inconnu mais la société NORMAND Guy GERBAUX était locataire de ce bâtiment !

Pour ce faire il n'y aura aucun dialogue, mais utilisera comme à son habitude "sournoisement", les services d'un cabinet d'avocat.

Lettre du 22 septembre 1998

De Maître Eric SCHLESINGER à NORMAND GERBAUX - Mr Claude GERBAUX

Je suis le conseil de Mme GERBAUX propriétaire d'un local sis 53 avenue de la République à Pontault Combault. Ma cliente m'indique que ce local a été donné à bail à la Ste NORMAND-GERBAUX par Acte authentique en date du 29 septembre 1967.

Ce bail a été résilié par vos soins depuis le mois d'octobre 1997, ainsi qu'il en résulte du rapport de la Gérance établi à l'occasion de la consultation écrite du 11 juillet 1998.

En conséquence, je vous mets par la présente en demeure de restituer les cles du dit local sous huitaine.

A défaut, je saisirai tel tribunal compètent à la solution de ce litige. Conformément à mes règles déontologiques, je vous invite à transmettre la présente à votre Conseil afin que je puisse m'entretenir avec lui de cette affaire.

Photo prise en juillet 2002

COURRIER du 5 juillet 1999 de Marie Lise

Vous y verrez l'état d'esprit de Mme Aline GERBAUX